Les bracelets connectés ont le vent en poupe :
C'est l'accessoire " tendance " du moment. L'un de ceux qui proliférera en décembre au pied sapin de Noël. En moins d'un an, le bracelet connecté, que l'on appelle aussi tracker d'activité, a en effet envahi les sites internet de e-commerce high-tech et les rayons nouvelles technologies des enseignes de la grande distribution. Un marché en plein boom porté alimenté par Fitbit, Jawbone, Samsung, Withings, Nike ou encore Sony qui devrait s'inscrire dans la durée et promet encore une belle fournée de nouveautés dans les mois à venir.
Mais à quoi sert au juste un bracelet connecté ? A faire du " quantified self ", autrement dit à mesurer soi-même son activité quotidienne, en particulier le nombre de pas effectué et la distance totale parcourue. Avec, chaque jour, des objectifs à atteindre. Une façon de lutter contre la sédentarité en incitant à l'activité physique.
Etant assez sportif (je pratique la course à pied deux à trois fois par semaine), je ne suis pas a priori la cible de ce genre de produit. Mais, n'écoutant que le geek qui sommeillait en moi, j'ai finalement craqué. J'ai jeté mon dévolu sur le Fitbit Flex, un bracelet minimaliste facturé autour de 90 € (quand même...) et compatible avec mon Samsung Galaxy S3 pour une synchronisation en Bluetooth des données sur smartphone.
L'investissement valait-il le coup (et le coût) ? Réponse dans ce test à reflétant mes 5 mois d'utilisation.